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KHATIA BUNIATISHVILI
Khatia Buniatishvili, est née le 21 juin 1987 à Batoumi en république socialiste soviétique de Géorgie,
c’est une pianiste géorgienne et française
Khatia vit depuis 2011 à Paris, en février 2017, elle acquiert la nationalité française.
Elle ressent une profonde reconnaissance pour la France,
"je pense que la France est un pays qui mélange créativité et droits de l'homme,
les deux ensemble, c'est rare dans un pays."
Comme sa sœur, Khatia Buniatishvili commence le piano à l'âge de trois ans
et donne son premier concert avec l'orchestre de chambre de Tbilissi à l'âge de six ans.
Entre douze et quinze ans, elle arrête l'école,
pour suivre les masterclass du pianiste et pédagogue français Michel Sogny.
Avec sa sœur Gvantsa, elle participe au concert organisé en 2001 par la fondation SOS Talentsa
puis au Théâtre des Champs-Elysées dans le cadre d'une soirée présentée par Stéphane Berne.
De retour en Géorgie, elle poursuit ses études à l'École centrale de musique de Tbilissi,
elle entre en 2004 au Conservatoire d'Etat de Tbilissi puis à Vienne
à l’université de musique et des arts du spectacle de Vienne.
En 2010, elle travaille avec la pianiste Oleg Maisenberg
à l'Académie de musique et d'art dramatique de Vienne.
Dès 2002, elle est invitée à participer à divers festivals de musique puis au festival de Gstaad
en 2003, 2004, 2011 et 2012, en tant que soliste ou comme concertante dans l'orchestre du festival,
tenant les parties de piano et même d'orgue dans des œuvres orchestrales,
sous la direction de Iouri Temirkanov.
En 2008, après son prix au concours international de piano,
elle débute aux États-Unis au Camegie Hall de New York avec le Concerto pour piano N°2 de Frédéric Chopin,
et donne en 2009 son premier récital au Festival de La Roque-D’antréron.
Outre sa carrière de soliste, elle se produit aussi comme chambriste,
notamment en duo avec le violoniste Renaud Capuçon,
mais aussi en trio avec le violoniste Gigon Kremer et la violoncelliste Giedré Dirvanauskaité,
en quintette avec le quatuor Pavel Haas,
ou encore à quatre mains et deux pianos avec sa sœur Gvantsa Buniatishvili.
Le 15 mars 2015, à l'issue de l'interprétation du 3eme Concerto pour piano et orchestre de Beethoven,
elle est sollicitée par les musiciens, comme marraine de l'orchestre, succédant à Brigitte Engerer.
En janvier 2017, elle revient jouer avec l'orchestre de Cannes, le Concerto pour piano n°10 de Mozart,
accompagnée de sa sœur Gvantsa.
En 2019, le jour où l'équipe française gagne la Coupe du monde de football, elle joue La Marseillaise.
Elle se produit à Paris aux concerts de la tour Eiffel des 14 juillet 2018, 14 juillet 2019 et 14 juillet 2020.
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Commentaires
Bonjour chère Marie,
Je ne connaissais pas cette pianiste, elle est belle et talentueuse.
Merci pour les infos et cet article intéressant.
Bonne journée et agréable week-end
Gros bisous
Florence
Bonjour Pinprenelle, encore une belle découverte une pianiste talentueuse que je ne connaissais pas merci pour ce joli cadeau Bon week-end; Gros bisous.
Bonjour Pinprenelle
J'avais déjà vu des reportages sur cette musicienne de talent à la télé, mais je ne connaissais pas complètement son parcours musical, c'est fait maintenant.
Bises d'Hervé
Hello
mon petit tour de ce lundi matin
pour te saluer, te donner mon petit bonjour
bonne journée
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Bonjour
merci de cette decouverte classique
j'aime beaucoup
C'est vendredi
Le jour ou je viens et je passe
Souhaiter un bon weekend a mes amis
Et qu'une agréable météo nous délasse
Que vous vienne cette joie de profiter
De ces prometteuses journées
Sortir enfin dans le beau temps
Qui s'offre éblouissant
Et 28 jours cette année seulement
Ce dimanche sera la fin de février
Lundi c'est avec Mars déjà arrivé
Que le temps installera son moment
Nota Bene
Dernier weekend libre que j'ai
Mon département est dans ces 20 COVID sinistrés
Samedi et Dimanche il sera interdit de sortir
A la maison, s'enfermer il me faudra avec grand plaisir
Ma vie est suspendue aux décisions d'amateur
De ces dirigeants incapables de faire face
A leurs responsabilités, ils loupent tout ce qui passe
Et du peuple miséreux à subir ces coups, ces malheurs